alerte info : une vague d'alebrijes a déferlé sur Mondon !

Un phénomène inattendu et sans précédent.
Samedi 13 août 2022, par 37°C, aux abords du lac de Mondon, profitant de la fraicheur du bo taco d'art nOmad et de l'ombre d'un arbre probablement centenaire, ils ont réussi à prendre vie en s'emparant momentanément des esprits et des mains d'innocents habitants ou vacanciers, venus en famille profiter des activités proposées dans le cadre du Festi'jeunesse de la communauté de communes Haut-Limousin en Marche.
On les appelle communément des "alebrijes". Se sont des "sculptures d'art populaire mexicain, aux couleurs vives, de créatures fantastiques", nous apprend Wikipédia.
De banales plaques de carton ils se sont transformés en masques pour le moins effrayants en hypnotisant littéralement leurs créateurs de tous âges, qui, une fois déguisés, se sont ensuite adonnés à de curieuses gesticulations, tout cela sous le regard impuissant des autorités compétentes.
Pour l'instant ils n'ont atteint que la face de leurs victimes (dont le pronostique mental n'est plus engagé), mais qui peut dire si demain, dans d'autres contrées françaises proches ou lointaines, ils ne s'en prendront pas à leurs bras, jambes, voire leur corps tout entier ?... "On n'ose imaginer les ravages d'une telle catastrophe !" prédisent des témoins toujours bouleversés...
Alors, est-ce encore le réchauffement climatique qui a favorisé une telle traversée ? Rappelons en effet que plus de 9000 km séparent le Mexique de la France.
Une autre hypothèse, non moins sérieuse, émerge chez les spécialistes de l'art contemporain : il s'agirait en fait d'une invasion extra-terrestre. La preuve ? La présence et la réactivation ce jour-là des "chapeaux de contact" créés en 2018 par la plasticienne Clorinde Coranotto lors d'une résidence dans le Gers (en partenariat avec les Abattoirs, musée - Frac Occitanie Toulouse), des œuvres performatives destinées à favoriser les échanges entre ceux qui les portaient (d'imprudents lavardenais) et les visiteurs d'une autre planète. Cette nouvelle manipulation sans précautions en territoire haut-viennois serait-elle à l'origine d'une telle stupéfiante apparition ?
Le mystère reste entier mais l'alerte est lancée. Prudence, donc, si vous croisez ou recroisez la tribu art nOmad, car nul ne sait ce qu'elle transporte actuellement à bord de son bo taco et personne ne semble être en mesure d'enrayer sa route.
 

 



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